dimanche 1 novembre 2009

To sum up...

Food party! On m'aime car je permets la bouffe en cours :). J'ai le tee-shirt rose en Solidarité pour Breast Cancer Awareness.


Avec Christen on a fait des pâtes carbonara et on a consommé un bon vin blanc comme on dit.


La Rue Trunk or Treat à l’école. On s’est déguisé en mime à la Marcel Marceau. Cette élève à ma gauche est venue m’aider avant que les autres arrivent. Elle est vachement douée en science et en tout quoi, mais en voyant sa mère pour la deuxième fois j’ai été un peu attristé car j’ai l’impression que sa mère la valorise selon ce qu’elle fabrique et pas pour la fille magnifique qu’elle est.

dimanche 18 octobre 2009

House Shoes & Quarters at Taco Bell

Bon, tu verras que mon week-end a été tranquille, mais en ayant l’expérience suivante je me suis dit, « oh, ça fera de bonne écriture pour le blog. » Dis-moi ce que t’en penses…

On appelle le fast-food Taco Bell le quatrième repas, celui qui a lieu entre le dîner et le petit dej, alors c’est déjà pas trop classe. J’y suis allé avec un copain pour chercher un truc à bouffer, mais en voyant que leur « McDrive » à eux avait une longue queue on s’est décidé d’entrer, moi portant mes pantoufles, house shoes en anglais.

Puisque je suis très observateur, j’ai remarqué un autocollant « Asbury College » accroché à un 4x4 stationné à coté de nous. Bon, j’espère pas leur connaitre.
Mais effectivement, je les connaissais un peu. J’ai regardé dans leur direction, mais ils ont rien dit, alors pas grave quoi. A la caisse Wanda m’a demandé ce que je désirais. Eh bien, je sais plus comment ça s’appelle, mais avant de régler, j’ai sorti mon porte-monnaie et j’ai dit, « Eh bien, je peux payer en espèces ? » Elle a sourit et a dit ben oui. Tu vois, je voulais pas utliser ma carte bleue pour un petit montant, ce qui est bien faisable aux USA (God bless America).

Un nouveau « low moment » pour moi, là étais-je, tenant des pièces de 25 centimes pour payer le montant de 4,76 $, habillés en vêtements de lits, mes pantoufles aux pieds, devant des étudiants de mon ancienne fac. « Il est pas allé loin, celui là, » on aurait pu dire de moi. « Dans un état triste, il est, t’as vu ? »

Vraiment ça me fait rigoler, et c’est pour ça que je partage. Et ce qui est cool de la part de Wanda c’est qu’elle continuait de sourire, de me traiter d’homme respectable. C’est formidable.

Bon, la prochaine fois je mettrai de vraies chaussures quand même….

dimanche 11 octobre 2009

Un Mariage à la Campagne, Boisson Inclus

Un week-end chargé. C’est ce que je viens de vivre. Notamment j’ai célébré le mariage d’une très bonne amie. La cérémonie a été trop bien avec une grande fête après, disons, à la Kentucky c'est-à-dire très country. Mais j’ai aimé. Cet état a une identité un peu flou (est-ce le sud ou le mi-ouest, on se dispute parfois) mais extrêmement charmante.

Sinon, ça a été cool de m’amuser avec les autres membres de ma classe de la fac, The Transforming Class. J’ai même consommé un verre ou deux d’une certaine boisson rouge qui se fabrique avec du raisin. Oh, que c’est bon !

Bon, c’est un message court ce soir. Déjà il fait trop tard – 23h11- presque lundi !

Je te laisse avec quelques photos ! Tu aimes ?


En route! C'est beau le paysage. Becca adore les barrières en pierre.


Sortant de l'église pittoresque Mt. Zion United Methodist. Fondé 1830 et quelques.




Une bouffe de qualité supérieure!


Je t'ai dit qu'un francophile ça mange pas seul - on boit aussi de la même façon.

vendredi 9 octobre 2009

Step 1: Admit you have a problem


Un francophile c'est vraiment quelqu'un de dangereux me semble-t-il.



Mais il mange bien.



Et jamais seul.

Un blog c'est du boulot, mais depuis que j'ai arrêté d’écrire le premier, www.mylifeinbrittany.blogspot.com, j’ai envie d’en faire un autre.
Quand j’étais à la fac une prof nous a dit qu’une deuxième langue c’est comme un fleuve qui coule. Tu peux pas l’empêcher de couler, de faire la tache pour laquelle a été faite. Avec une langue c’est vrai aussi. Une langue c’est fait pour être utiliser.

Pour moi, je trouve que l’enseignement des élèves débutants dans la langue de Molière c’est pas suffisant pour satisfaire le torrent de vocabulaire qui fait rage dans mon esprit. Enseigner niveau 1 d'une langue c'est comme une entrée et mon appétit devient de plus en plus exigeant. J'ai faim! Donne-moi le plat! Parle plus, sache plus, laisse-moi couler ! C’est pas pour rien que l’on dit, « Je parle couramment telle ou telle langue. » Tu penses pas ?

Récemment je suis sorti avec une autre francophile. Normalement deux addicts doivent se soutenir, mais nous on a été le « supplier » l’un de l’autre. Le dictionnaire me dit que supplier se traduit fournisseur. Qu’il soit connu que je parle de mon intérêt en français comme une drogue illégale. (L’auteur réserve toujours le droit d’employer des mots anglais car il est finalement américain et il a des limites quoi.)

Bon, on aime pas quand ça fini pas alors je termine cette première œuvre par montrer à tout le monde, quelques photos de cette expérience entre addicts de français.

A bientôt !